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Carmen – Micaëla

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

« La Micaëla d’Hélène Carpentier convainc par sa présence scénique et son timbre très lumineux, au vibrato assez serré. » Matthieu Wagner – Opéra Magazine

 

Pomme d’Api – Catherine

Festival de Montpellier, 2019

« Un nom à retenir : Hélène Carpentier, la jeune soprano, déjà lauréate de nombreux prix, lui prête sa voix et son sens du théâtre pour notre plus grand bonheur. La fraîcheur de l’émission, la finesse du jeu, la drôlerie nous séduisent. » Yvan Beuvard – ForumOpera

« Hélène Carpentier, premier prix des Voix Nouvelles 2018, possède un timbre léger qui conserve son caractère juvénile jusque dans le registre aigu […]. Les trois facettes du personnage (fausse ingénuité : « Bonjour monsieur, je suis la bonne », caractère bien trempé : « J’en prendrai un, deux, trois… », amoureuse nostalgique : « Et je vois, l’un près de l’autre / Nos deux noms… ») sont rendues avec efficacité. » Stéphane Lelièvre – Olyrix

 

Messe (Clémence de Grandval)

Théâtre des Bouffes du Nord, 2019

« La soprano lyrique Hélène Carpentier se distingue par la douceur dont est capable sa voix pour magnifier les nuances piano et pianissimo. Les aigus sont bien présents, pleins de panaches et sculptés par une diction méticuleuse. » Mathieu Sariman – Olyrix

 

La Donna del Lago – Albina

Opéra de Marseille, 2018

« La ravissante Hélène Carpentier lauréate de nombreux concours (elle a obtenu le Grand Prix du 3ème Concours « Voix Nouvelles » en février dernier) est une perle pour interpréter Albina. » François Lesueur – Concertclassic

« [Les rôles] sont interprétés respectivement par le ténor Rémy Mathieu et la soprano Hélène Carpentier, qui exploitent au mieux ces utilités et font apprécier la netteté de leur timbre et la qualité de leur projection. » Maurice Salles – Forum Opera

« La jeune Hélène Carpentier  est une délicieuse Albina. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Die Schöpfung – Gabriel & Eve

Arsenal de Metz, 2018

« Voix féminine du trio, la jeune et prometteuse soprano Hélène Carpentier est Gabriel puis Ève en dernière partie. La lauréate du concours Voix nouvelles 2018 déploie une pureté de timbre renforcée par le chœur pour son solo « Mit Staunen sieht das Wunderwerk». Elle s’élève au-dessus de l’orchestre et du chœur avec grâce, tient ses aigus sans le moindre accroc. La diction, impeccable, termine de magnifier un timbre presque rieur sur l’air de Gabriel « Auf starkem Fittiche ». Les trilles voltigent, les montées dans les aigus comme dans les nuances sont naturelles. » Céline Wadoux – Olyrix

 

Concert des lauréats Voix Nouvelles

Théâtre des Champs-Élysées, 2018

« Le premier prix a été attribué à Hélène Carpentier qui expose un chant délicat et élégant dans l’air extrait de L’Elixir d’amour de Donizetti. On y admire une belle projection sur l’ensemble de la tessiture […]. »

 

Steeve Boscardin – Resmusica

Opéra de Marseille, 2018

« Enfin, première lauréate et benjamine des finalistes du Concours, la soprano lyrique Hélène Carpentier (22 ans) se montre insolemment à l’aise à chacun de ses passages sur scène : elle joue de sa jeunesse innocente sur l’air des Bijoux de Faust, puis déploie des aigus faciles sur « Prendi per me sei libero ». On en vient presque à regretter de ne la voir que sur deux airs et demi, puisqu’elle partage la Violetta du Brindisi final avec ses consœurs Eva Zaïcik et Caroline Jestaedt. » Paul Canessa – Olyrix

 

Concours « Voix Nouvelles 2018 »

Opéra Comique, Paris, 2018

« Benjamine de la compétition, la soprano Hélène Carpentier remporte à l’unanimité le Premier Prix du Concours Voix Nouvelles 2018, surclassant ses concurrents en réunissant un rare ensemble de qualités, ce malgré la présence en  face d’elle de réelles personnalités. […] En première place donc, la soprano Hélène Carpentier (22 ans), par ailleurs  couronnée du Prix de la meilleure interprète du répertoire français, révèle une superbe voix lumineuse de soprano lyrique prête sans conteste pour affronter la scène : l’aigu apparaît particulièrement brillant, d’une rare aisance, la demi-teinte rayonnante ne peut que séduire. Plus encore que dans l’air extrait des Puritani de Donizetti « Qui la voce sua soave…Vien  diletto », déjà de grande facture, l’artiste s’épanouit pleinement avec « Dieu, quel frisson… Amour, ranime mon courage » de Roméo et Juliette de Gounod. Dans cette page magnifique, certainement l’une des plus parfaites du compositeur, Hélène Carpentier conquiert toute la salle et le jury par son implication, la séduction dont  elle imprègne son chant et des accents de sincérité justes, dramatiquement en place. » José Pons – Olyrix

« Le premier prix a récompensé la benjamine des finalistes, également lauréate du prix du chant français, Hélène Carpentier, 22 ans seulement, qui a époustouflé la salle Favart par la puissance de ses aigus dans l’air de Juliette (« Dieu, quel frisson »). » Audrey Bouctot- Forum Opera

 

Concours Opéra Raymond Duffaut « Jeunes Espoirs »

Avignon, 2017

« Hélène Carpentier,  soprano  française de 22 ans, a fait sensation en Musetta (La Bohème), puis Norina (Don Pasquale). Rien de surprenant à ce qu’elle ait été, elle aussi, doublement récompensée, par le Prix « Meilleur(e) Interprète du répertoire italien » et le Grand prix « Région Provence-Alpes-Côte d’Azur ». » François Lesueur – Opéra Magazine

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